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Carine-Laure Desguin a lu "Au nom de Pierre, de Luc, de Marc et de Jacob", de Salomé Roussel,

Publié le par christine brunet /aloys

 

   Si vous cherchez l'âme soeur, lisez ce livre, dégustez-le, avalez-le, collez chacune de ses pages sur les murs de votre chambre. Vous ne serez pas déçue (ou déçu) et jamais la désespérance ne viendra vous étrangler. Au nom de Pierre, de Luc, de Marc et de Jacob, c'est l'histoire de la vie d'une femme, tout simplement. Et de ses rapports, tumultueux le plus souvent, avec les hommes, depuis son adolescence jusqu'à … Les jeunes gens d’aujourd’hui découvriront d'ailleurs dans ce livre ce qu'étaient les relations entre ados ou même jeunes adultes voici une petite cinquantaine d'années, quand Internet n'existait pas, et que les smartphones n'étaient que des objets appartenant à la science-fiction.

   Toutes les relations (avortées ou pas) sont relatées sans aucun pathos, car des déceptions et des claques, il y en a. Mais qu'importe, à chaque fois la vie reprend son cours car il faut vivre, n'est-ce pas? On voyage, on fait des rencontres. l'Italie, l'Amérique. On croise untel dans une auberge de jeunesse, tiens oui je me souviens de lui là-bas le mois dernier. Des échanges de baisers, de câlins. On se marie, on élève des enfants, on divorce, tout cela c'est la vie. Entretemps, le numéro deux s'est pointé de nouveau et on a passé de belles heures ensemble. Et puis on repart à la recherche d'une autre moitié, on s’accroche car la vie se traverse à deux quand on peut donner et recevoir, dixit l’auteure.  

   Du réalisme mais aussi pas mal d'humour et en tout cas, une écriture très bien rythmée. Ce livre est-il une fiction ou une autofiction, rien ne le confirme ni l'infirme. L'auteure utilise la première personne. Et donc le lecteur est plongé dans ce récit plein de rebondissements et accompagne à chacun de ses pas l'héroïne. Et des pas, elle en fait notre brave dame.  Mais c'est elle, c'est vous, c'est moi, c'est chacune d'entre nous. Qui n'a pas fait quelques petites entailles au contrat? Et qui n'a pas répondu à l'invitation d'untel ou d'un autre? On a toutes, à certains moments, nos hormones qui se mettent en branle et puis voilà, boum. Parfois, on tombe dans le panneau comme on dit, on croit les bobards de X, on essaie de réparer l'un ou l'autre et puis pan, la déception. Mais on se relève (est-on vraiment tombée?) et on redémarre. Les années deux mille ouvrent des opportunités, il y a les sites de rencontre. Tiens oui, pourquoi pas? Et là aussi, des espoirs, des rendez-vous amoureux, on partage le même parapluie et puis une rafale de vent et le pépin se retourne. Et un jour .... Ouiiii! 

   Au nom de Pierre, de Luc, de Marc et de Jacob, le livre de la résilience amoureuse. Le cadeau idéal pour toutes celles qui bientôt fêteront la Sainte-Catherine. Et pour les autres également. 

Carine-Laure Desguin

http://carineldesguin.canalblog.com

 

Publié dans avis de lecteurs

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L'auteur mystère : Edmée de Xhavée !

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

L'auteur mystère n'était autre qu'Edmée de Xhavée !!! 

Carine-Laure avait raison ainsi que Pascale ! Bravoooo !

 

Merci à tous les participants !

 

 

Publié dans auteur mystère

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Tiens, tiens... Mais qui a écrit ce texte ???? J'attends vos avis éclairés ! Réponse demain soir !

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

 

Entrez dans la danse… 

 

Les mains moites et le front nimbé d’humidité, l’auteur s’avance, son cher manuscrit serré sur la poitrine. Son œuvre. Ses confidences codées, ses accusations déguisées, ses frustrations et désirs par personnage interposé, tout est là. Il regarde avec une lueur tremblante dans les yeux l’imposante façade où un savant logo souligne d’une flèche lumineuse l’enseigne de la maison d’éditions : Choré-Délices.

 

Il pousse une large porte de verre, a un hoquet de respect devant le jardin tropical de l’entrée, léché par un filet d’eau. À la réception, une élégante brune en uniforme armorié de l’enseigne lui sourit. Un accent méridional achève d’écraser l’auteur, presque titubant devant cette accumulation de charme et de bon goût. L’apparition souriante fait mine de ne pas prendre note du fait que l’auteur, hypnotisé comme au sortir d’une entrevue de cinq heures avec un gourou, bafouille, cafouille, farfouille et finit par arracher les premières pages de son manuscrit à cause d’une crise de tremblotte. « Ne vous eng faiteuh pas, ils sont tous commeuh vous la premièreuh fois ! La secrétaireuh de Florang, notre présideng, vous atteng au premier étageuh, porteuh de droite ».

 

Épouvanté par l’ascenseur dont il se demande s’il faut un code, une empreinte de l’iris des yeux, de la paume de la main, ou rien, il décide de gravir les escaliers – au tapis décoré du logo, ça va sans dire – à pied, et frappe nerveusement à la porte indiquée, sur laquelle luit une plaque de cuivre rutilante : Madame Caprine de Seguin. À son invitation à entrer, il se trouve nez à nez avec une rousse en shorts et pelisse d’astrakan, cigare au bec, casquette de vinyle, cuissardes à revers. Aimable comme tout. Le pauvre auteur, à ce stade, bégaye et danse d’un pied à l’autre. « Vous devez vous rendre à l’isoloir, peut-être ? » « Noooooon, noooooon… je venais soumettre mon manuscrit ! » « Oui, ça je me doutais que vous n’arriviez pas de Houte-si-Plout juste pour venir dans notre isoloir. Vous avez un peu de temps devant vous ? C’est pour avoir l’avis de notre comité de lecture, ça prendra un chouïa de temps à peine… ». Il se sent infiniment bête, d’autant que là, avec toutes ces émotions, il irait bien dans l’isoloir, mais il ne tient pas à passer pour un idiot, en prime. Pas à 100% du moins…

 

Madame Caprine de Seguin se dirige avec l’allure d’une garde impériale vers une pièce attenante, où quatre femmes au visage violacé lisent à toute allure, haletantes, une bouteille de deux litres d’eau minérale – ou Vodka ? - à portée de main. « Vous avez rendu votre verdict pour J’étais une tueuse en série que je vous ai donné il y a une heure ? L’auteure attend… ? Oui ? Parfait, voici un autre manuscrit, l’auteur vient de Houte-si-Plout et donc il faudrait aussi le lire en urgence ». Horrifié, notre auteur en état presque cataleptique voit que l’on arrache la reliure de son précieux ouvrage et qu’on en fait quatre paquets égaux, que les lectrices commencent aussitôt à scanner des yeux et annoter.

 

Alors qu’il sort pour rejoindre, au rez-de-chaussée, la salle d’attente – où l’auteure de J’étais une tueuse en série est en larmes suite au refus de publier ce recueil de fautes d’orthographes – il s’assied, penaud, secoué, n’osant pas poser les yeux trop ouvertement sur le luxe qui l’entoure. L’auteur refusée pour avoir tué grammaire et syntaxe en série se lève brusquement et s’adresse à lui avec force de tourniquets de bras : Ce sont des minables ! Ils n’y connaissent rien ! S’ils sont si doués, pourquoi ils ne me les corrigent pas, hein, les fautes ? C’est le fond qui compte, pas la place et le nombre des lettres, que d’ailleurs le correcteur automatique peut faire tout seul. Ils sont nazes ! Je sens que ma série de crimes n’est pas finie, tiens. Je vais aller la secouer, la bimbo marseillaise de l’entrée !

 

Sortant de son sac un hachoir de cuisine assez rouillé, elle part à grandes enjambées vers la réception d’où s’élève un cri surpris : Mais qu’est-ce que c’est queuh cetteuh fadade ? tandis que l’aimable dame à présent mécontente se lève en position de combat. Elle est petite et ses narines fument, l’auteure ressemble à une longue échelle en furie, et notre pauvre candidat auteur en attente du verdict du comité de lecture retient son souffle (et pas que, car l’isoloir commence à lui manquer…). La tueuse en série est promptement jetée au sol avec un haaaaaaaah, la joue transpercée par le talon aiguille de la réceptionniste qui rajuste son tailleur, essuie le sang de sa chaussure en appelant Florang, Florang !!!

 

Un homme beau comme on n’en fait plus (un bon éditeur, ça se flatte, sorry) et d’un sang-froid incomparable émerge, très cool, de l’ascenseur dont jaillit joyeusement la marche 1 de Pomp and Circumstance. Quel chic, pense notre auteur terrifié. Un coup d’œil de Florant von Mastic, l’éditeur en personne, lui résume toute la dernière minute. Pfffft, il faudra faire nettoyer le tapis. Et se penchant sur l’auteure dont toute la mâchoire de droite est à nu avec la peau déchiquetée et pendouillant, lui demande aimablement : Faut-il vous appeler un taxi ou vous reprenez le bus ? Vous ne pouvez pas conduire dans cet état, je ne sais pas si vous avez remarqué que votre épaule et votre clavicule sont démises.

 

Du haut de l’escalier un joyeux Hou hou retentit, et une voix enjouée annonce : l’auteur de Tout est bon dans le cochon, de Houte-si-Plout est encore là ? Nous avons à peine commencé et sommes conquises, c’est OK !

 

Florant se tourne vers lui, suivant du coin de l’œil la tueuse en série qui rampe vers la sortie en bavant, et, lui souriant – d’un sourire éblouissant -, lui tend la main et l’invite : Venez donc dans mon bureau pour signer votre contrat. Bienvenue à Choré-Délices, entrez dans la danse !

Publié dans auteur mystère

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Bob Boutique est l'invité de notre blog avec "le point d'interrogation", un opuscule paru aux Editions Lamiroy

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

 
Il est handicapé à la suite d’un problème cardiaque intervenu trois ans plus tôt et hémiplégique, ce qui signifie qu’il a perdu l’usage d’une partie de ses membres, le côté droit, bras et jambe. C’est la fin de l’après-midi, notre homme est seul. Sa femme est sortie faire des courses et il travaille au quatrième étage de cette grande maison bourgeoise où il va et vient (très lentement certes) lorsqu’il lui semble entendre comme un bruit diffus qui monte dans les étages, comme si quelqu’un s’y trouvait et marmonnait ? le temps de prendre sa canne, le voilà qui s’engage crânement dans la cage d’escalier où il descend en claudiquant et se tient d’une main à la rambarde, marche après marche le front interrogatif et s’arrête enfin tout au bas devant la porte de la cave d’où semble-t-il viennent les murmures...
Bob Boutique ? Un nom pareil ne s’invente pas. Une boutique cela fait magasin, petit commerce, je vous en mets cent grammes en plus ? , bref tout ce qu’on veut sauf littérature. Et pourtant notre écrivain – lui il précise scribouilleur – a déjà publié une dizaine de romans qui ont rencontré le succès et des lecteurs attentionnés dans le monde littéraire belge !
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Evelyne Culot nous présente son roman "Même pas peur"

Publié le par christine brunet /aloys

 

CULOT Evelyne.

Née en 1959

Habite Liège

‘Même pas peur’ est mon premier roman

Nulle en informatique

Juriste de formation

 

 

 

Résumé :

 

« Connais-toi toi-même, Guirec, et tu connaîtras lUnivers et les Dieux ».

 

Papy tient parfois des propos étranges et inutiles : ça sert à quoi de se connaître ?

Pourquoi est-ce important de connaître lUnivers et les Dieux ?

 

Cabossé par la vie, Guirec ressent parfois, de manière confuse, la nécessité de garder

un cap dans les actes quil pose au quotidien. Mais où trouver ce fil rouge ?

Jusqu’où accueillir l’Inconnu sans se déraciner ? Comment s’abandonner sans se sentir

abandonné ? Peu à peu la phrase de Papy fait son chemin et Guirec s’interroge : son

inaptitude au bonheur est-elle un héritage familial ou une certitude qu’il s’est forgée

de toutes pièces ?

 

 

 

Extrait :

 

Après une heure, j’ai pu apaiser en moi les tourbillons émotionnels qui me déstabilisent. Quand je rejoins Papy, il explique à Gaëlle que la composition chimique des larmes varie en fonction de l’émotion qui les a déclenchées.

        - Ce n’est pas banal : notre corps nous parle. Il faut être attentif à tout ce qu’il essaie de nous dire. C’est comme une blessure : le médecin commence par l’observer. Il sait alors quoi faire pour la soigner, la soulager. Le processus sera long, la cicatrice ne disparaîtra pas, mais elle te fera de moins en moins souffrir. Plus tu t’en occuperas, plus elle sera belle.  

        - Ce n’est jamais beau une cicatrice.

        - Tu as déjà entendu parler du Kintsugi, Gaëlle ? C’est un art ancestral japonnais qui consiste à réparer une poterie cassée avec de l’or. Une fois réparé, l’objet tire sa richesse d’avoir été brisé.

        - Tu veux dire que quand je me serai recollée je serai plus riche ?

                    - Tu auras acquis une certaine richesse intérieure.

Publié dans Présentation

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Bernard Wallerand nous présente son roman "Dans la soupente des Artistes"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Bernard Wallerand a été  professeur de français et de religion catholique à l'institut Saint-Luc de Ramegnies-Chin (Belgique).  Il a donc côtoyé de près l'univers artistique et le monde de la jeunesse. Au sein de son école, il était aussi membre du sas d'écoute ainsi que de l'équipe de solidarité agissant en faveur des élèves en difficulté.

Passionné depuis toujours par Van Gogh pour ses qualités humaines et artistiques, Bernard Wallerand signe un roman empreint de poésie, où dans une espèce de fondu-enchaîné, se superposent la vie d'un étudiant et la vie du peintre, à travers la relation amoureuse et ses échecs, à travers les tumultes de l'existence.

 

Résumé

De ses yeux rêveurs, Eliott achève son travail de fin d’étude en 6ème illustration. Il fixe le visage de Van Gogh dont il a toujours été fan. Les yeux de l’Artiste sont cependant à ce point sombres qu’ils viennent obscurcir les pensées de l’étudiant. La palette que Vincent tient à la main, a beau être variée de couleurs, le jaune citron apporte une certaine amertume et le vert de mer est bien trop pâle... Il n’y a donc pas de quoi raviver l’âme d’Eliott qui, dans sa soupente, se pose encore tant de questions. Si Antonin avait été là, il aurait pu être le confident de ses amours déçus. S’il avait été là, son adolescence et son parcours scolaire n’auraient peut-être pas été à ce point tourmentés...

 

Extrait

Dans le hall central de l'école, il manque une pièce du patchwork. Les mains frêles de Margot tapotant le piano ne sont plus. Au poignet de Margot, le bracelet bleu décoré à la Van Gogh n'est plus. Les Rommy Tilfiger font place aux Adodas ! Eliott emprunte dans une solitude pesante le long couloir de l'école. Les yeux de tous sont rivés sur lui. C'est clair pour tout le monde que Margot et lui ne sont plus ensemble. Ainsi Margot a-t-elle préféré tapoter sur le piano un début de romance à quatre mains avec un certain Adelin plutôt que de tapoter des "je t'aime aussi" sur son écran !   Les mains d'Adelin ont effleuré celles de Margot, juste au moment où, sur le clavier du piano, les graves ont rejoint les aigus. Sur la portée de musique ont ainsi fleuri les demi-pauses, les pauses, les soupirs et les crescendos. Eliott en crie de chagrin. Il en rugit d'amertume. Il en hurle de désespoir ! Dans sa soupente, le soir même, le cœur meurtri, il se décide à écrire à Margot, de ses mains tremblantes, une lettre. Il la glisse furtivement dans son sac qu'elle a oublié dans le grand couloir de l'école, sans doute emportée dans ses rêves frivoles !

Publié dans Présentation

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Chiara Stella Aquino Benitez présente son ouvrage " Si on est une femme convenable"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Biographie :

 

Née en Italie en 1977, d’origine paraguayenne, Chiara Stella Aquino Benitez s’installe en Belgique à l’âge de 17 ans. Elle travaille depuis 18 ans dans le domaine de la santé mentale. Passionnée de littérature et d’écriture depuis toujours, elle publie ici son premier roman. 

 

Résumé :

 

À travers une passion brève et déchirante, la narratrice prend conscience de sa féminité, de son désir, de ses contradictions.

Le parcours d’une femme qui trébuche sur ses abîmes, aux limites de la folie. Qui tente de donner sens à ce qui la déborde et lui échappe. Qui vacille entre authenticité et souffrance, funambule de l’urgence.

Une ode à l’amour, l’amour du corps et l’amour de soi.

Une trame au rythme soutenu qui nous tient alerte et fébrile. Un texte puissant et profond, qui nous questionne sur nos propres ambivalences. Un roman qui bouscule les convictions et ne laisse pas indemne.

 

Extrait :

 

On dit que pour certains écrivains, écrire est non seulement une évidence, mais également une question de vie ou de mort. Je n’ai jamais vraiment compris cette idée. Jusqu’à cette nuit.

Une urgence, oui, parfois je le vivais de cette façon. J’écris depuis que je suis toute petite, mais jamais je n’avais eu l’impression que j’allais mourir si je n’écrivais pas. Parfois que j’allais un peu étouffer. Ou que je n’allais pas savoir sortir l’idée de ma tête jusqu’à ce qu’elle soit sur la page. Mais mourir, non.

Jusqu’à cette nuit, disais-je. Cette nuit.

Je n’ai pas écrit tout de suite après, à la place j’ai pris mon premier somnifère depuis plus de quinze ans. J’ai pris le somnifère pour dormir. Je l’ai pris surtout pour être certaine de ne pas hurler de douleur toute la nuit et réveiller tout l’hôtel.

Publié dans Présentation

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Carine Argoud nous présente son roman "Derrière le hasard"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Carine Argoud, vit en France près de Grenoble où elle enseigne dans le primaire. Elle a grandi au pays de la noix, au pied du Vercors. Adolescente, elle commence à écrire et c'est pour elle un exutoire.
Plus tard, passionnée de l'âme humaine, c’est au cours d’une période de deuil qu’elle reprend l’écriture automatique. Inspirée par ce qu’elle traverse, elle se nourrit aussi de témoignages spontanés.
Un jour, entre les lignes, se dessinent les prémices d’une histoire. En quelques semaines, les personnages de Derrière le hasard s’imposent à elle. Elle écrit son premier roman.

 

Extrait

Madame,

Au vu de votre dossier, nous avons le plaisir de vous informer que votre candidature a été

retenue pour une mission humanitaire au Cambodge, à Phnom Penh. […]

Je monte quatre à quatre les marches d’escaliers jusqu’au second étage, pénètre chez moi et

saute comme un cabri à travers l’appartement. Heureuse et soulagée d’un poids. Le poids

d’un retour au travail.

 

 

Résumé

 

À 33 ans, Jeanne a tout pour être heureuse, une famille et des amis sur qui elle peut compter, un métier qu’elle a choisi, une vie sociale bien remplie.

Cependant, elle ressent un mal-être croissant, au point qu’il lui devient impossible de poursuivre sa vie sans se mettre en quête de réponses. Elle nous entraîne dans son parcours initiatique.

Publié dans Présentations

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Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"

Publié le par christine brunet /aloys

Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"
Joël Godart nous présente en avant-première son nouveau recueil poétique "Entre tes bras l'amour renaît"

Publié dans Présentations

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Joelle Rochard a lu "Les 'Apprent-histoires'" de Julie Toussaint

Publié le par christine brunet /aloys

 

Petit coup de cœur pour « Les Apprent-histoires » de Julie Toussaint aujourd’hui.

Tout d’abord une présentation des différences d’utilisation du point, des points d’interrogation et d’exclamation. Puis vient la comparaison entre les différentes lignes ! C’est léger, ludique et joliment écrit.

Deux historiettes s’en suivent.

L’une nous raconte l’importance dans notre vie d’un des plus petits éléments visibles : le grain de sable. C’est une façon d’attirer l’attention du jeune lecteur sur le fait que ce qui est petit est loin d’être négligeable.

L’autre évoque l’amour impossible dont souffrent la grande et la petite aiguille d’une horloge car elles ne vivent pas au même rythme…

Dans des styles variés et plaisants, ces « Apprent-histoires » sont agréables à découvrir !

 

JOELLE ROCHARD

https://www.joellerochard.com

 

Publié dans avis de lecteurs

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