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Brigitte Hanappe nous présente son nouvel ouvrage "Regards et nuances !"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Certains regards m’ont inspirée et j’ai eu envie de les raconter sous formes de nouvelles. Ce livre comporte 3 histoires différentes

 

 

Résumé des nouvelles du livre.

Un nouveau regard.

Elodie voit sa vie changer quand elle élimine un détail physique gênant.

L’adolescente, mal dans sa peau, adopte alors un nouveau regard vers le monde. L’effacée, la timide veut s’imposer ! 

Mais les autres sont-ils prêts à accepter sa métamorphose ?  

 

Un regard perplexe.

Connaît-on vraiment ses parents ?

Un jour, Clara fait une étrange découverte dans la maison de son enfance.

Suite à cette trouvaille, le regard qu’elle pose sur sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer se charge de perplexité. 

La vieille dame avait bien caché son jardin secret !



 

Regard d’envie.

La vie est loin d’être un long fleuve tranquille…

Et quand elle devient vraiment merdique, notre regard se tourne avec envie sur l’existence des autres.

 

Extrait de la 1ère nouvelle : Un nouveau regard

 

Elodie tressaillit en captant le sourire du coiffeur qui l’observait dans le miroir : visiblement, il attendait une réaction de sa part. Son cœur battait plus fort pendant qu’elle fixait son reflet : sa nouvelle coupe lui plaisait, les petites mèches parsemées sur son front mettaient son visage en valeur. Elodie avala sa salive et murmura doucement : « C’est pas mal ! »

Il se pencha sur son épaule en hochant la tête : 

   ─ Pas mal ?? C’est super et si tu veux mon avis, tu as bien fait d’opter pour des lentilles de contact : on les voit enfin tes jolis yeux.

Elodie s’agita sur son siège : les compliments, si rares sur sa personne, la mettaient mal à l’aise et un fard empourpré envahit ses joues. Elle se contenta d’acquiescer en soufflant un timide «  merci ». 

Elle détestait réagir aussi maladroitement mais on ne change pas un comportement aussi facilement qu’une chevelure. 

Agée de 16 ans, la jeune fille était mal dans sa peau depuis des années, une adolescente effacée, transparente… Le genre de fille qui ne fait partie d’aucun groupe… Le genre de fille qui n’attire aucun sentiment amoureux ! Du moins jusqu’à présent car sa vie semblait suivre une autre route. 

« Pour moi, la vie va commencer… » 

Sur le chemin du retour, elle fredonnait inconsciemment cette vieille chanson de Johnny Hallyday. Ces paroles peu modernes ne correspondaient pas tout à fait à ses goûts musicaux mais les mots s’accordaient bien à la situation actuelle. 

Debout dans le bus bondé, elle surprit le regard d’un garçon : il lui souriait gentiment et lui désignait du doigt le siège qu’il abandonnait pour descendre à l’arrêt. Automatiquement, les joues d’Elodie s’empourprèrent à nouveau et ses yeux s’humidifièrent : elle avait envie de pleurer, mais de joie.

On la remarquait, on était aimable avec elle… Oui, pour elle la vie commençait !

 

Publié dans Présentations

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Séverine Baaziz nous présente son nouveau roman "La petite fille aux yeux d'or"

Publié le par christine brunet /aloys

 

BIOGRAPHIE :

 

Séverine Baaziz est née en 1978 à Amnéville, en Lorraine. Elle est informaticienne, romancière et rêveuse. De son imaginaire naissent plusieurs livres : Le premier choix (finaliste Prix Lire & Cri 2018/2019), Mamie Paulette (finaliste Prix Lions du roman régional 2018/2019) et L’astronaute.

 

Avec La petite fille aux yeux d’or, elle signe un quatrième roman empli de tendresse et de magie.

 

Résumé :

 

Un merveilleux voyage dans les yeux incandescents d'une enfant...

Fleur est une petite fille de huit ans qui passe son temps à observer le ciel et à laisser son imagination divaguer. Elle est distraite et solitaire, mais surtout, elle a de grands yeux. De très grands yeux aux longs cils capables de voir le minuscule, le lointain et même l’invisible. C’est l’infirmière scolaire qui lui apprend. Dès lors, elle se fixe un but : utiliser ce don pour faire le bonheur des gens qui l’entourent et, avant tout, de son père. Une décision qui la conduira à de drôles d’amitiés et à la découverte des beautés du monde.
Sauf que la vie réserve parfois, aussi, de bien terribles mésaventures.

Dans un souffle plein de candeur, Séverine Baaziz nous emmène au pays de l’enfance et de l’émerveillement où s’inventent tous les possibles.

 

EXTRAIT

 

Comme tous les matins, je suis arrivée en retard. 

            Madame Frisette a levé l’index, a mis plein d’éclairs dans ses yeux, puis sa voix a grondé.  

            —        Même le jour de la visite médicale, Fleur, tu es incapable d’être à l’heure !

            Oui, c’est vrai, je ne vous ai pas dit mais mon prénom c’est Fleur. Et aussi, le nom de madame Frisette, c’est pas madame Frisette, c’est madame Frisenburger. Mais comme je ne trouvais pas ça très joli, moi je l’appelais madame Frisette. En plus, ça lui allait bien, avec sa couronne de bouclettes grises qu’elle portait sur la tête. En vrai, je sais qu’elle m’aimait bien, madame Frisette, parce que moi je vois les petites étoiles qui sourient derrière les éclairs. C’est juste que, quand on est maîtresse, se mettre en colère, c’est obligatoire. Sinon, on peut perdre son travail. C’est comme un arbitre qui ne sifflerait pas les fautes pendant un match de foot, tout le monde sait qu’il ne resterait pas arbitre bien longtemps.

            Tout ça pour vous dire que, comme tous les matins, je suis arrivée en retard. 

            Et comme tous les matins, c’était vraiment pas ma faute.

            Vous ne me croirez peut-être pas mais je vous assure que le ciel était encore plus beau que tous les autres matins. Vrai de vrai ! J’avais pourtant promis à mon père de ne pas lever les yeux, sans quoi il savait bien que la route serait plus longue, et j’en avais vraiment l’intention, mais vous auriez vu ce bleu hypnotique, et ces chants d’oiseaux, des notes de musique qui s’envolaient dans les nuages. Et tout me paraissait si proche, on aurait dit que le ciel venait à ma rencontre, vraiment, alors je me suis mise sur la pointe des pieds, et les bras en l’air, j’ai essayé d’attraper un morceau de nuage. Comme ça. Pour essayer. Et aussi pour avoir un petit morceau rien qu’à moi, au cas où un jour tout ça n’existerait plus.

Je suis repartie les poches vides, un peu tristounette, en me disant qu’il fallait peut-être que je grandisse encore un peu.

—        Allez, Fleur, l’infirmière scolaire t’attend, elle n’a pas que ça à faire ! Tu es la dernière à passer ! Zou ! File ! Tu sais où se trouve l’infirmerie.

Heureusement, sur le chemin, rien ne pouvait me distraire. Rien que des murs et des plafonds. 

De ma petite main, j’ai toqué à la porte et j’ai attendu sagement une réponse qui n’est pas venue tout de suite. C’est un beau grand sourire qui m’a ouvert au bout d’au moins une minute, et qui m’a drôlement complimentée. Que j’avais de grands yeux, m’a dit l’infirmière. C’est pour mieux voir le monde, ai-je répondu. Bon, j’avoue, cette jolie réponse n’est pas de moi, c’est mon père qui me le dit très souvent. Il m’a même raconté qu’à la maternité, on me pinçait les orteils pour me voir ouvrir les yeux.

 

L’infirmière au grand sourire a commencé à m’ausculter. 

Elle a écouté mon cœur, « parfait ! », m’a fait tousser, « excellent ! », m’a pesée et mesurée, « formidable ! ». Tout allait bien, mais vraiment bien, jusqu’à ce que j’entende « Oh oh… ». J’ai tout de suite compris que quelque chose ne tournait pas rond. Je venais de passer tout un tas de tests oph-tal-mo-lo-giques, drôlement dur à dire ce mot, et je croyais avoir réussi sauf que le « Oh oh… » disait le contraire. L’infirmière m’a tout fait repasser une seconde fois. Et même une troisième. Tests de vision de loin, de près, de côté. J’ai même passé un test dans le noir où je voyais quand même plutôt bien. « Oh là là… ». Mes si grands yeux pour mieux voir le monde avaient un souci. Là, c’était sûr de sûr.

L’infirmière a décroché le téléphone posé sur son bureau et elle a passé un coup de fil. Un autre. Et encore un autre. Après, sans rien me dire, elle est partie attendre dans le couloir et moi, je suis restée là toute seule. Je vous avoue franchement que mon cœur a commencé à marteauner, et que j’avais des flageolets plein les pieds. Si je n’avais pas déjà huit ans, je crois que je n’aurais pas réussi à retenir mes larmes.

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Laurent Dumortier nous présente son dernier recueil poétique "Barry by night"

Publié le par christine brunet /aloys

Biographie

 

L’auteur, membre de l’Association Royale des Ecrivains Wallons, a déjà publié plusieurs romans, recueils de nouvelles, ainsi que recueils de poésie. Il collabore en outre à diverses revues et forums littéraires. Plusieurs revues littéraires internationales ont en outre publié plusieurs de ses nouvelles...

 

Résumé

L’utopie entre toi et moi, c’est de croire qu’au-delà des apparences, il y a deux âmes pas si différentes qui sont unies par quelque chose qui les dépasse et qui transcende le temps et l’espace.

 

Vue sur la ville (avec Evelyne)

 

Harmoniques alcoolisées

Fumées imprécises

J'erre à travers

Les méandres de la nuit

 

Parfois je rêve

D'une autre vie

D'un ailleurs, d'une éclaircie

 

La douceur du vent

Me rappelle

Tes soupirs d'après minuit

 

C'est ta voix que j'entends

A travers la danse de la pluie

 

Les étoiles qui brillent

Et la vue sur la ville

Ton image me consume l'esprit

 

Je voudrais plonger...

Plonger vers l'infini

 

 

Dans l'amphithéâtre

Qu'est la vie

Tu voudrais revenir

En coulisses

Car la lumière te brûle

Comme un papillon de nuit

 

Chaque minute qui passe

T'éloigne un peu plus

De cette vie qui te lasse

Des souvenirs

Qui te hantent

Des douleurs enfouies

De la peur de tout perdre

En couchant sur le papier

Ce que tu ne peux lui dire...

 

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Séverine Baaziz nous présente succinctement son nouvel ouvrage...

Publié le par christine brunet /aloys

 

 
Résumé :
Fleur est une petite fille de huit ans qui passe son temps à observer le ciel et à laisser son imagination divaguer. Elle est distraite et solitaire, mais surtout, elle a de grands yeux. De très grands yeux aux longs cils capables de voir le minuscule, le lointain et même l’invisible. C’est l’infirmière scolaire qui lui apprend. Dès lors, elle se fixe un but : utiliser ce don pour faire le bonheur des gens qui l’entourent et, avant tout, de son père. Une décision qui la conduira à de drôles d’amitiés et à la découverte des beautés du monde. Sauf que la vie réserve parfois, aussi, de bien terribles mésaventures.
Dans un souffle plein de candeur, Séverine Baaziz nous emmène au pays de l’enfance et de l’émerveillement où s’inventent tous les possibles.
 
Un extrait ?
 

Depuis quelques heures, on était dimanche.

Alors que tout avait encore un peu la couleur de la nuit, on est montés dans la camionnette à seaux. C’est bien beau de vendre des fleurs mais, quand il n’y en a plus, faut aller en acheter. Et là, avec le samedi qu’on avait connu, il fallait en acheter vraiment beaucoup.

Pendant environ trente minutes, à l’avant de la camionnette à seaux qui roulait à fond les pédales sur l’autoroute, j’ai regardé le soleil se lever. Ça m’a fait ce drôle d’effet que j’adore, comme si j’assistais au plus grand secret du monde. La naissance d’une nouvelle journée. Une autre. Presque la même qu’hier, mais pas tout à fait, parce que j’étais plus vieille d’un jour, et que les fleurs et les arbres avaient des minimillimètres en plus. Tout est sombre et, petit à petit, tout s’éclaire comme si le ciel ouvrait son œil, un seul œil mais gigantesque, et bleu, avec au milieu pour pupille toute enflammée, le soleil. Là, je me suis dit qu’on avait vraiment de la chance que le ciel, même s’il n’avait qu’un œil, eh bien, qu’il soit bleu. Marron, je suis sûre qu’il aurait été moins beau. Même sûre de sûre ! 

Quand on est arrivés chez le grossiste, le ciel avait fini de se réveiller. Sur le parking, déjà quelques camionnettes à seaux, mais pas trop. Tout en lâchant discrètement la main de mon père, on est entrés. L’histoire de la main c’est parce que je me sens toujours un peu adulte quand j’arrive chez le grossiste. Il n’y a rien que des commerçants qui parlent de choses importantes, qui se répondent avec des grosses voix, et qui se promènent avec des billets de banque dans les poches. C’est sérieux quand même alors, chaque fois, ça me fiche un coup de vieux.

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Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"

Publié le par christine brunet /aloys

Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
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Philippe Massart nous propose un aperçu de son ouvrage pédagogique "Enseignement d'hier au service des apprendissages différenciés d'aujourd'hui"
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Daniel Plasschaert nous présente son recueil "Les odes au jardinet"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Avis du comité de lecture :

Après s’être promenés dans les délicieuses du jardinet du Commandant, nous plongeons avec émotion et ferveur dans ses poèmes d’amour, puis sommes entraînés dans la densité de ses autres textes.
Un monde à lui, enveloppant. Tous ses textes semblent venir du plus profond.
 
Un livre réussi, dont on ne ferme pas la dernière page sans peser son geste.
 
Nous aimons énormément.
 
( comité de lecture - Chloé des Lys )

 

Extraits

Voici l’heure des oubliés.
Voici l’heure des bâtisseurs et des marins délaissés. Voici les peuples défunts venant du large sur des vaisseaux fantômes.
Je prie pour toutes ces lumières inconnues
qui illuminent ma mémoire.
De l’ouvrier égyptien au frère d’armes s’en allant vers les lointaines croisades.
Du peintre hollandais au moine méditant.

Extrait des « prières" 

 

Cet amour immaculé.
Cet amour similaire aux ajours.
Cet amour émasculé, ensorcelé.
Cet amour blessé dans son ventre et dans son
sang.
Et tel un cerveau de pierre la cave où
nous gisons s'emplit de regards, de sable
et de songes uniques.
Et tel un cerveau de pierre,
elle nous recouvre de ses
peines,
de ses dictionnaires,
de ses voûtes basses où résonnent nos cris d’enfants.

 

Extrait de « la gloire amoureuse »

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Marc Arthur de Waele nous présente son ouvrage "Sortez donc de l'ombre"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Biographie.

 

Marc Arthur voit le jour à Mouscron le 10 avril 1953, à 350 mètres du Château des Comtes.

Il abandonne ses études en 1969 pour intégrer l’administration des Postes comme personne de confiance facteur.

Suite à la réussite de plusieurs examens, il est nommé contrôleur adjoint 1 ère classe à Tournai.

En 1989, il prend une interruption de carrière pour se lancer comme indépendant dans la chocolaterie, administrateur délégué de sa société, il reprend du service en mai 1992.

 

Extraits du livre.

 

            Les erreurs ne se nient pas, elles s’assument.

            La tristesse ne se pleure pas, elle se surmonte.

            L’amour ne se crie pas, il se prouve.     

            Tous les thèmes abordés sont d’actualités, l’alcoolisme, la toxicomanie, le harcèlement scolaire, l’homosexualité, l’obésité et le regard néfaste des autres…

Se droguer avec « le prétendu bien-être » que vous ressentirez en devenant consommateur n’est qu’une illusion, car très vite vous deviendrez dépendant en détruisant votre existence.

Déjà beaucoup trop nombreux les suicides de jeunes, filles ou garçons, à tous les niveaux, que cela soit aux primaires, aux secondaires et aux études supérieures.

Stop au harcèlement scolaire devenu un fléau meurtrier dont l’arme principale est les réseaux sociaux.

L’homosexualité fait toujours et encore l’objet de critiques, de brutalités et de rejets de notre société prétendue évoluée.

Ce livre est garni de conseils et d’idées afin que vous puissiez passer le stade du rêve à la croyance de soi-même.

Cette force, les hommes de la rue ne l’ont, sans doute, pas comprise.

Les chefs d’états ont une responsabilité envers chaque citoyen, responsabilité qu’ils n’assument pas.

Quant à nous les êtres humains, retenons deux mots : respect et amour.

Franchir les difficultés de l’existence demande de la volonté et de la confiance en soi.

Ne pas perdre l’espoir, voilà ce qu’il va falloir retenir du livre positif de Marc Arthur de Waele, un livre qui nous rappelle que nous sommes tous le soleil de notre ombre.

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Philippe Desterbecq nous présente son nouveau roman : Le talisman magique

Publié le par christine brunet /aloys

Résumé.

Lulu, le petit  frère de Pierrot, découvert dans « L’étoile magique » adore écrire. Il participe à un concours d’écriture et gagne un voyage à Paris avec sa classe.

De curieux messages parsèment son chemin. Ils lui parlent d’un talisman qui serait caché dans un cimetière parisien. Comme le voyage prévoit une visite du Père Lachaise,  Lucien et  ses amis Xavier et Mohamed ont bien l’intention de découvrir cet objet dissimulé derrière la tombe d’une chanteuse célèbre : Dalida !

Mais toutes les vedettes ne sont pas enterrées au Père Lachaise et les trois amis devront faire preuve de jugeote et d’audace pour dénouer le nœud du problème…

Rien ne les arrêtera même pas la peur des loups, du noir ou des fantômes !

Biographie.

J’ai été instituteur pendant 35 ans. Je suis retraité depuis le 1er décembre et très content de l’être.                                                                                               

Par la force des choses, je me suis intéressé de près à la littérature de jeunesse et j’ai eu envie d’écrire une histoire pour mes élèves. C’est ainsi qu’est née « L’étoile magique ». Devant l’enthousiasme de mes élèves, j’ai tenté l’édition et mon manuscrit a été accepté chez CDL.

Devant l’insistance de mes élèves à écrire une suite, j’ai publié « Le livre magique » et puis, l’an dernier, j’ai bouclé la boucle avec « Le talisman magique ».

J’aime lire et écrire des nouvelles. J’ai participé à plusieurs concours et j’ai publié, toujours chez CDL, un recueil particulier puisque un personnage de chaque histoire se retrouve dans la suivante : « Ici ou ailleurs ».

J’aime les histoires contenant un brin d’irréel, de fantastique. J’en ai introduit dans mon premier roman publié aux éditions du Saule « Dans un grand champ de nuages blancs ».

Le 27 mars sortira un opuscule « Bon anniversaire, Lola ».

Et au début de l’été verra le jour la suite de mon roman qui sera intitulée « Sous le grand champ de nuages blancs ».

Mes passions à part la lecture et l’écriture : les voyages, la nature, le jardinage, la visite de jardins, la photographie, l’élevage d’oiseaux,…

Extrait

Une chauve-souris fait sursauter Mohamed. Le cri d’un oiseau nocturne brise le silence. Les enfants se figent un instant. Vont-ils vraiment continuer leur balade nocturne ? Xavier n’en mène pas large, même s’il ne veut pas l’avouer.

La lune disparait à nouveau. La lampe de poche de Xavier éclaire faiblement les premières marches de l’escalier.

Soudain, une main attrape le bras de Laure qui pousse un cri.

Les enfants ne sont pas rassurés du tout. Courageusement ils montent les marches, en silence jusqu’en haut. Arrivé dans le chemin des Gardes, un drôle de cri les fait sursauter.

- Des loups ? demande Mohamed…

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Jocelyne Aubin nous présente son ouvrage "Le miroir des songes. Concerto en bleu pour violon et chiffon"

Publié le par christine brunet /aloys

Court extrait du livre :

Ce pourrait être un conte de Pouchkine, une peinture de Chagall, un concerto de Tchaïkovski...
 
"Le vêtement de l'inconnue de la rue est léger, pourvu d'un large décolleté qui laisse entrevoir la naissance de ses seins blancs....
L'inconnue ne court plus maintenant, sa démarche est devenue féline, elle s'approche à pas lents d'un jeune homme habillé d'un costume de lin blanc, d'une chemise multicolore.
Ils rient, s'embrassent. le garçon joue avec le foulard. La soie épouse le lin."
 
"A la lueur de l'aube et des flammes du feu, les mains caressent la glaise.
Elles se promènent sur la masse informe, creusent, cherchent, dessinent un chemin, l'effacent, recommencent la quête.
Léa sait qu'il lui faudra longtemps observer, avec pudeur, réserve mais détermination, l'émotion qui l'habite, avant que ne s'impose à son regard, l'esquisse de la forme qui vit en elle...
Les mains sur la glaise creusent, cherchent, encore et encore, jusqu'à ce que l'esprit, fatigué, se taise."
 
 Biographie :
Née à Nantes. En Belgique depuis trente-sept ans.
La terre, le bronze, la pierre ont été l'encre de mon écriture depuis ces vingt-cinq dernières années (Concerto en bleu sculptures monumentales pierre et bronze Jardin botanique de Louvain-la-Neuve - Vierge à l'enfant UCL, nombreuses oeuvres venant compléter des collections privées, Belgique, France, Russie, Italie...
J'ai juste maintenant changé d'encre...
A propos de l'auteur...
"On dit parfois qu'un artiste vit dans un autre monde et qu'il établit avec son oeuvre, un lien entre ce "quelque part" et le réel.
A découvrir, à se laisser séduire par les oeuvres de Jocelyne Aubin... autant de petits bonheurs, de belles pépites colorées qui nous invitent à partager  les recherches, la joie de vivre l'espoir et la générosité de cette artiste".
Michel Bero Musique 3 RTBF pour la revue made in Belgium 2000.
 
- Couleur France, recueil de poésie, 2001 Editions Lux
 
 Résumé du livre :
Léa, magicienne des tissus, couturière,
Léa, magicienne des formes, des couleurs, sculpteur, peintre,
Deux femmes embarquent pour une promenade créative en solitaire,
Unies cependant par un fil invisible...
Leur première approche est instinctive...
L'inspiration se nourrit d'images furtives, passées et présentes, petites bribes du temps saisies en plein vol.
C'est ensuite l'évidence... même au delà des songes... l'oeuvre devient miroir.
 
 

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Valérie Dereppe nous présente son ouvrage "Etrange présence"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Biographie :

J’ai limité ça en ces quelques lignes car je ne ressens pas plus le besoin d’afficher un quelconque diplôme qu’un chien n’a besoin d’afficher son pedigree. Quant à ma vie, j’en ai eu plusieurs, ce serait trop long à raconter et mon esprit de synthèse m’a amené à ceci :

L’auteure de ce livre, Valérie, est clairvoyante et pratique le tarot depuis de nombreuses années. Elle a participé à 117 émissions TV en direct et –en raison d’un parcours artistique voire atypique-, se définit désormais comme accordeuse d’âmes.

L’essentiel n’est pas d’être le premier, mais d’être heureux. Nous pouvons accéder à davantage d’épanouissement, de joie et de bonheur et un pas à la " foi ", faire tourner un cercle de plus en plus vertueux. 

Valérie part du principe que rien n’est le fruit du hasard, que l’extérieur est le miroir de l’intérieur et que le futur ne fait jamais que se calquer sur le passé... la perception du passé, plus exactement. D’où l’urgence de renouer avec son ami de Lumière au présent, sa puissance intérieure… avec la VIE et, autant que faire se peut, vibrer la joie.

 

Résumé :

     Cet opuscule, Étrange présence, narre la rencontre entre un être de Lumière et son habit de matière, entre le fond et la forme qui revêt ici le surnom de Lou. Lou traverse une crise existentielle et cet être de Lumière -son ange en somme-, va remettre un peu d’ordre dans ses idées, dans ses pensées et, ce faisant, la tirer vers le haut.

 

Extrait :

En m’écoutant, son visage s’assombrit comparable à un soleil noir ; on aurait dit qu’il savait exactement de quoi je parlais : il souffrait et je n’étais plus seule. Interactivement, j’étais galvanisée par sa présence et l’ombre de mes mots déteignait sur lui. Une vague de lumière dissipa sa ténébreuse empathie lorsqu’il déclara :

  • Ange déchu, spectre de lumière blanche, n’oublie jamais ceci : Tu es poussière d’étoile et tu retourneras en poussière d’étoile.

Non, pensai-je, ce ne sont pas des paillettes de LSD que le marchand de sable a placé dans mes yeux, mais bien de la poussière d’étoile !

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